Le Hezbollah a rejeté ce mercredi l'appel du gouvernement libanais à déposer les armes. Le groupe terroriste la qualifie même "d'erreur majeure" qui porte atteinte à la souveraineté du Liban. Le Hezbollah affirme cependant qu'il reste ouvert à un dialogue national sur la sécurité stratégique, à la fin de ce qu'il appelle l'agression israélienne contre le Liban et à la reconstruction et à la restauration de ce que "l'ennemi a détruit".
Le président libanais Joseph Aoun, aux côtés du Premier ministre Najib Mikati, a proposé hier (mardi) de regrouper toutes les armes sous l'autorité de l'État libanais – une mesure qui obligerait le Hezbollah à abandonner son arsenal.
Gabriel Attal