Un haut responsable de Tsahal a déclaré mardi soir sur Channel 12 : "Il n'y a pas de famine à Gaza, nous n'en sommes même pas proches." "Il y a de la détresse [à Gaza], mais pas de faim", aurait-il ajouté. Les responsables militaires ont souligné que les principales pénuries à Gaza concernent les services médicaux et la nourriture mais aussi le problème du pillage de l'aide destinée aux civils. 110 incidents de pillage ont été répertoriés depuis la reprise de l'aide à Gaza, selon les responsables. Ces derniers ont cependant déclaré que les pillages n'avaient pas été perpétrés par le Hamas mais plutôt par des civils gazaouis, des gangs armés et des clans organisés. Lundi le groupe terroriste palestinien a exécuté quatre hommes accusés d'avoir pillé certains des camions d'aide qui ont commencé à entrer à Gaza.
Gabriel Attal