Le président libanais, Joseph Aoun, a affirmé : "Nos contacts diplomatiques visant à empêcher une escalade se poursuivent, les choses évoluent vers une issue positive." "Je vous assure que le spectre de la guerre a été écarté du Liban et que la situation évoluera positivement, si Dieu le veut."
Joseph Aoun, dans une pique indirecte adressée au Hezbollah, a appelé à un "État d’institutions, et non à un État de partis et de sectes".
"Il y a une plaie qui saigne au sud", indique Aoun. "Et j’espère qu’avec la naissance du nouveau Liban, nous mettrons fin aux guerres et vivrons en paix."
Gabriel Attal