France

    Olivier Falorni : "Nous avons fait le choix d’un critère lié à la qualité de vie et non à la quantité de vie qu’il reste à la personne"

    1 minute
    7 mai 2025

    ParGabriel Attal

    Olivier Falorni : "Nous avons fait le choix d’un critère lié à la qualité de vie et non à la quantité de vie qu’il reste à la personne"
    Le député Modem de Charente-Maritime, Olivier Falorni

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    Olivier Falorni, député Modem de Charente-Maritime, était l'invité de Christophe Barbier ce mercredi matin dans "Le Barbier du matin" dans le 6-9 d'Ilana Ferhadian. Il est revenu sur l'actualité politique. A propos de Boualem Sansal, toujours emprisonné en Algérie, Falorni a affirmé : "De Gaulle disait à propos de Sartre : 'On n’emprisonne pas Voltaire'. Je suis tenté de dire : 'On n’emprisonne pas Camus'."

    Concernant l'aide à mourir, l'élu a déclaré : "Il y aura un vote groupé le 27 mai. Si certains députés avaient la très mauvaise idée de faire de l’obstruction, il priveraient les Français de l’autre loi, sur les soins palliatifs, qui sera votée à l’unanimité."

    "Le mot euthanasie est un beau mot par son étymologie : belle mort. Mais entre 1933 et 1945, les nazis ont parlé d’euthanasie pour éliminer les personnes handicapées. Ce mot a été souillé par l’histoire."

    "Je lis tous les jours sur Twitter : 'Falorni = euthanasie = État nazi'. Voilà le niveau du débat sur les réseaux sociaux."

    "Nous avons fait le choix d’un critère lié à la qualité de vie et non à la quantité de vie qu’il reste à la personne."

    Gabriel Attal

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